Le Vietnam est l’un des pays les plus faciles à parcourir et également l’une des destinations les plus populaires en Asie du Sud-Est.
Alors, comment se déplacer au Vietnam ? La méthode de déplacement au Vietnam dépend énormément de la durée de votre séjour au Vietnam. En tant que touriste, vous avez de nombreuses options de transport à choisir au Vietnam, notamment en avion, en train, en bus, en voiture, en moto ou cyclo, en taxi et en bateau.
Voici un aperçu des meilleures façons de se déplacer au Vietnam, quelle que soit la durée de votre circuit Vietnam ou le budget alloué à votre itinéraire dans le pays.
Table des matières
Avion
Voyager en avion est évidemment le moyen le plus coûteux, mais aussi le plus rapide pour se déplacer au Vietnam. Grâce à ce mode de transport, vous pouvez vous rendre presque n’importe où dans le pays en environ deux heures, ce qui en fait un excellent choix pour les voyageurs pressés.
Agents et aéroports
Au Vietnam, Vietnam Airlines est la plus grande (et la plus coûteuse) compagnie aérienne nationale, mais il existe également de nombreuses compagnies aériennes à bas prix et fournisseurs de vols, notamment VietJet Air, Jetstar, Bamboo Airways et VASCO.
Le Vietnam abrite également plus de 20 aéroports, dont 8 aéroports internationaux situés à Hanoï, Ho Chi Minh-Ville (Saigon), Da Nang, Nha Trang, Hai Phong, l’île de Phu Quoc, Can Tho et Da Lat. La majorité des vols internationaux arrivent à Hanoï et à Ho Chi Minh-Ville, avec des arrivées quotidiennes en provenance de villes hub asiatiques. Hong Kong, Séoul, Bangkok, Singapour, Guangzhou, Siem Reap et Phnom Penh opèrent la plupart des vols fréquents.
Billets et services
Si vous réservez tôt, vous pourriez économiser sur les tarifs des billets, car les compagnies à bas prix offrent souvent des réductions de 30 à 50 % lorsqu’elles ont des soldes. Les tarifs aériens dépendent du moment de la réservation et des dates de voyage souhaitées. Il n’y a pas de différence entre les tarifs des Vietnamiens et des étrangers.
Cependant, gardez à l’esprit que les frais de bagages et les politiques varient d’une compagnie à l’autre. Les compagnies à bas prix facturent généralement des frais supplémentaires pour les bagages ou les sièges préférentiels.
Train
Compte tenu des prix incroyables et des services réguliers des bus à impériale à ciel ouvert, peu de voyageurs optent pour le train en répondant la question comment se déplacer au Vietnam. Cependant, les voyages en train valent la peine d’être envisagés de se déplacer au Vietnam pour plusieurs raisons. Tout d’abord, les principales routes sont généralement bordées de cafés délabrés, de stations-service, de stands de restauration rapide et de boutiques de téléphones mobiles ; depuis le train, vous pourrez en fait voir un peu de la campagne. Deuxièmement, vous serez impliqué dans beaucoup moins de quasi-collisions avec des camions, des motos ou des chiens. Troisièmement, vous avez presque la garantie de discuter avec un groupe de locaux amicaux – et peut-être de participer aux festins que certains d’entre eux apportent à bord.
Les chemins de fer du Vietnam exploitent un réseau de trains à voie unique comprenant plus de 2500 km de voies, s’étendant de Ho Chi Minh-Ville à la frontière chinoise. Une grande partie de ce réseau remonte à l’époque coloniale, bien qu’il soit progressivement modernisé. La plupart des services sont encore relativement lents, mais voyager en train peut être bien plus agréable que par la route – bien que les prix sur la route côtière ne puissent pas rivaliser avec les bus, vous êtes loin de la route très fréquentée (et souvent dangereuse) numéro 1, et vous pouvez voir beaucoup plus de campagne. Gardez un œil particulièrement attentif sur vos affaires dans les trains, et soyez particulièrement vigilant lorsque le train s’arrête en gare, assurez-vous que votre ceinture d’argent est bien dissimulée sous vos vêtements avant de dormir et que vos bagages sont en sécurité.
Les itinéraires les plus populaires auprès des touristes sont la navette de Da Nang à Hué (2-3 heures), un échantillon pittoresque du voyage en train vietnamien, et les trains de nuit de Hué à Hanoï (11-16 heures) et de Hanoï à Lao Cai, pour Sa Pa (8-9 heures).
Services
La principale ligne du pays suit la route nationale 1 depuis Ho Chi Minh-Ville jusqu’à Hanoï, en passant par Nha Trang, Da Nang et Hué. De Hanoï, trois lignes secondaires s’étendent vers la côte nord et la frontière chinoise. Une ligne suit la rivière Rouge vers le nord-ouest jusqu’à Lao Cai, à seulement une heure en bus de Sa Pa et est également le site d’une frontière avec la province chinoise du Yunnan ; malheureusement, la voie ferrée du côté chinois n’est pas utilisée. Une autre ligne part vers le nord jusqu’à Dong Dang ; c’est la route empruntée par les trains reliant Hanoï à Pékin. La troisième branche, une antenne plus courte, relie la capitale à Hai Phong.
Cinq services Express de la Réunification partent chaque jour de Hanoï pour Ho Chi Minh-Ville et vice versa, un voyage qui dure entre 30 et 40 heures. La plupart des services arrivent entre 3h et 5h du matin à la fois à Hanoï et à Ho Chi Minh-Ville.
Sur les lignes du nord, quatre trains par jour relient Hanoï à Hai Phong (2 heures 30 minutes) et deux à Dong Dang (6 heures). Il y a aussi quatre trains de nuit (7-8 heures) et un service de jour (9 heures) pour Lao Cai.
Les trains pour se déplacer au Vietnam partent généralement à l’heure de leur point de départ, et bien que les retards puissent s’accumuler plus loin sur la ligne, ils sont rarement trop graves. Notez que la seule façon vraiment fiable de connaître l’horaire est de le vérifier sur le mur de la gare.
Classes
Lorsqu’il s’agit de choisir la classe de voyage, il est essentiel de viser haut. En bas de l’échelle se trouve un siège dur, qui est tel que son nom l’indique, bien que supportable pour les trajets plus courts ; les wagons, cependant, ont tendance à être sales et, comme les fenêtres sont grillagées, la vue est médiocre et l’on peut réellement se sentir comme un animal. Les sièges souples offrent plus de confort, surtout dans les wagons climatisés, certains d’entre eux étant à deux étages ; malheureusement, les couchettes plus récentes ont tendance à avoir des téléviseurs à écran plat fonctionnant à un volume assourdissant. Pour les voyages de nuit, il est conseillé d’investir dans une couchette de quelque nature que ce soit, même si, étant donné que le parc ferroviaire du pays est en cours de modernisation, il n’est pas toujours possible de savoir exactement ce que vous obtenez. Les nouvelles cabines à couchettes dures sont désormais assez confortables et comportent six couchettes, trois de chaque côté – les plus étroites du haut sont les moins chères et les plus larges du bas sont les plus chères – bien que certaines des vieilles reliques dures restent en service. Les cabines à couchettes souples plus spacieuses, ne contenant que quatre couchettes, sont toujours confortables.
Notez que des wagons de luxe sont attachés à des services réguliers sur quelques itinéraires au départ de Hanoï. Ceux des trains à destination de Hué et Da Nang sont exploités par Livitrans, et ceux à Lao Cai par une variété de compagnies.
Installations
Tous les trains Express de la Réunification sont désormais équipés de la climatisation, tout comme les trains de nuit à destination de Lao Cai qui ont été modernisés avec des wagons-lits de luxe. Tous les trains sont théoriquement non-fumeurs ; les règles sont en grande partie respectées dans les chambres à coucher, bien que dans la classe des sièges durs, même les contrôleurs fument. Tous les wagons de train disposent de toilettes, bien que là encore, il est difficile de savoir à quoi s’attendre. La plupart sont correctes, bien que légèrement sales, mais beaucoup sont de type squat ; ces dernières sont bien plus susceptibles d’être sales et de ne pas disposer de papier ou d’eau courante. Celles des wagons-lits sont de véritables toilettes assises et sont relativement propres.
Des repas simples sont souvent inclus dans le prix du billet, mais vous voudrez peut-être vous approvisionner en collations vous-même. Vous aurez également de nombreuses occasions d’acheter des en-cas lorsque le train s’arrête dans les gares – et dans les chariots qui parcourent les allées.
Billets
Il est judicieux de réserver à l’avance, et plus tôt c’est fait, mieux c’est, surtout si vous avez l’intention de voyager le week-end ou pendant une période de vacances (où les couchettes inférieures sont souvent vendues comme six places, ce qui crée du chaos). Les cabines à couchettes doivent être réservées au moins un jour ou deux avant le départ, voire plus tôt pour les couchettes souples sur les itinéraires Hanoï-Hué et Hanoï-Lao Cai. Il n’est pas possible d’acheter des billets combinés et de faire escale en route ; chaque voyage nécessite l’achat d’un billet séparé au point de départ. L’achat de billets est généralement assez facile à la gare, bien que les hôtels et les agences de voyage puissent réserver moyennant des frais.
Les tarifs varient en fonction de la classe de voyage et du train emprunté ; en règle générale, plus le train est rapide, plus il est cher. Les prix (toujours indiqués en dôngs) changent régulièrement, alors vérifiez avant de réserver pour avoir une idée de leur niveau.
Bus
La plupart des voyageurs utilisent des bus pour se déplacer au Vietnam, mais ne voient jamais réellement de gare routière. Cela s’explique par le fait que la majorité des trajets touristiques sont effectués par des services exploités par des entreprises privées, généralement appelés « bus open-tour », qui fonctionnent en général non pas depuis des gares, mais depuis les bureaux desdites entreprises. Ce terme provient du fait que ces entreprises vendent généralement des billets de trajet entre Ho Chi Minh-Ville et Hanoï, permettant aux clients de faire des arrêts aussi longtemps qu’ils le souhaitent aux principaux points de passage tels que Da Lat, Mui Ne, Nha Trang, Hoi An, Da Nang, Hué et Ninh Binh. Cependant, il y a des inconvénients à cela.
En dehors de ces affaires privées, les services de bus nationaux relient toutes les grandes villes du Vietnam, ainsi que la plupart des petites villes, bien que les voyageurs aient tendance à les utiliser en dehors de la route open-tour. Les bus open-tour sont équipés de la climatisation, offrent un nombre limité de places assises et ont des horaires fixes, ce qui leur donne immédiatement l’avantage sur les services nationaux. De plus, le fait qu’ils ne prennent pas de passagers en cours de route les rend plus rapides, et la concurrence est si intense que les prix sont presque aussi bas que le réseau de bus national.
Bus open-tour
Dans l’ensemble, les bus open-tour sont un moyen relativement confortable de se déplacer au Vietnam ; ces bus s’arrêtent également parfois à des sites touristiques, tels que les montagnes de marbre et Lang Co, ce qui peut vous faire gagner beaucoup de temps et d’argent par rapport à un voyage indépendant. Les bus sont généralement de qualité correcte, mais ne vous attendez pas à avoir beaucoup d’espace pour les jambes ni à trouver des toilettes à bord ; certains services plus chers en proposent, mais la grande majorité s’arrête toutes les quelques heures pour une pause combinée aux toilettes et à la restauration. Ces pauses ont généralement lieu dans des restaurants médiocres et chers ; il est préférable de vous munir de snacks avant votre voyage. Un autre inconvénient des bus open-tour est que vous serez encouragé à réserver dans les hôtels de la propre entreprise ou affiliée (généralement situés à côté du point de dépose), bien que rien ne vous empêche de séjourner ailleurs.
Les horaires des services sont généralement respectés, et sur les trajets plus longs, certains se déroulent de nuit. La plupart des bus de nuit sont équipés de couchettes, ce qui semble confortable, mais ce sont les routes vietnamiennes, et les conducteurs vietnamiens – ne vous attendez pas à beaucoup dormir. Notez également que certains opérateurs sont plus fiables que d’autres ; Mai Linh et Hoang Long ont bonne réputation, bien que certains autres opérateurs aient des normes de service très médiocres.
Les prix des billets varient largement en fonction de la société que vous choisissez et (si vous réservez un billet pour tout le trajet) du nombre d’arrêts que vous souhaitez effectuer en cours de route. Vous pouvez soit effectuer des réservations fermes dès le départ, soit opter pour un billet ouvert pour plus de flexibilité, auquel cas vous devrez peut-être réserver votre voyage ultérieur un ou deux jours à l’avance pour être sûr d’avoir une place. Sinon, vous pouvez acheter des billets séparés au fur et à mesure, ce qui est recommandé. Chaque ville principale de l’itinéraire a un agent (un pour chaque opérateur) où vous pouvez acheter des billets et effectuer des réservations ultérieures. Pour éviter d’acheter un faux billet ou de payer plus cher, il est préférable d’acheter directement auprès de l’agent concerné plutôt que dans des hôtels, des restaurants ou des agences de voyage non liées.
Autres bus
Sur le réseau de bus national pour se déplacer au Vietnam, le gouvernement est en train de moderniser progressivement les bus d’État, remplaçant les vieux véhicules délabrés par des modèles climatisés, notamment sur les itinéraires les plus populaires. Il n’est pas rare de se retrouver entassé parmi les bagages, qui peuvent être de tout, des cochons vivants dans des paniers à des dizaines de sacs de riz. Le progrès peut être extrêmement lent car les bus s’arrêtent fréquemment pour prendre des passagers ou faire des pauses repas. Parmi les anciens véhicules, les pannes sont assez courantes et peuvent parfois nécessiter une attente en bord de route de plusieurs heures pendant que le conducteur, le collecteur de tarifs et le mécanicien mettent la main à la pâte pour improviser une réparation.
Les billets sont préférables à acheter aux gares routières, où les tarifs sont clairement indiqués au-dessus des guichets. Les prix sont généralement également notés sur les billets eux-mêmes, bien que des cas occasionnels de touristes étant surfacturés, notamment dans des destinations plus rurales – surtout celles de la frontière laotienne. Pour les trajets longs, achetez votre billet un jour à l’avance car de nombreux itinéraires sont très demandés.
Comment se déplacer au Vietnam en minibus ? Des minibus privés en concurrence avec les bus publics sur la plupart des itinéraires ; ils partagent parfois la gare routière locale, ou se regroupent simplement sur le bord de la route au centre d’une ville. Vous pouvez également les héler sur la route. En fait, ils entassent encore plus de personnes par pied carré que les bus ordinaires, et circulent souvent de manière interminable en ville pour solliciter des passagers. En revanche, ils fonctionnent au moins toute la journée et desservent certaines routes non couvertes par les services publics. Ces services sont sans billet, alors essayez de connaître le tarif correct et de convenir d’un prix avant de monter – avoir la monnaie exacte vous sera également utile. Vous pouvez également vous retrouver déposé sur le bord de la route avant d’atteindre votre destination, et devoir vous entasser dans le prochain service qui passe.
La plupart des grandes villes ont leur propre réseau de bus local, bien que les prix et les normes varient. Essayez de connaître le prix correct et d’avoir la monnaie exacte prête avant de monter, car les collecteurs de tarifs profitent souvent de votre situation captive.
Moto
Quel est le moyen de transport le plus populaire au Vietnam ? Comment se déplacer au Vietnam, en moyen “familial” des Vietnamiens ? C’est la moto ou le scooter. Si vous voyagez en sac à dos au Vietnam en solo, alors la moto est un moyen de transport idéal offrant l’expérience de voyage la plus intéressante et la plus authentique au Vietnam.
Vous pouvez louer des motos partout au Vietnam, y compris dans les hôtels, les cafés et les agences de voyage. Ce mode de transport pour se déplacer au Vietnam convient uniquement aux plus courageux, car la circulation au Vietnam est quelque peu chaotique et frénétique, bien que ce soit le moyen de transport le plus populaire des Vietnamiens.
Louer une moto
Si vous louez une moto, inspectez soigneusement la moto avant de partir et rappelez-vous que le port du casque est obligatoire au Vietnam. Les stations-service se trouvent partout dans le pays, et l’essence est relativement bon marché par rapport à la distance que vous pouvez parcourir avec un réservoir.
Xe om
Si vous n’êtes pas prêt à vous aventurer seul sur la route, une autre option consiste à trouver un « xe om » (taxi moto) ou des chauffeurs Grab, ou tout autre type de « xe om » technologique (dans le jargon vietnamien). Les taxis moto sont ce qu’ils semblent être.
En tant que passager, vous devez monter sur une moto ou un scooter derrière le conducteur local et le laisser vous emmener. Cependant, fixez un prix avant de monter et n’hésitez pas à négocier.
Dans des villes plus paisibles comme Hué, vous pouvez profiter d’une promenade en cyclo à vitesse réduite. Mais si vous souhaitez simplement vous déplacer entre deux destinations, recherchez un « xe om ».
Cyclo
Les cyclos (pousse-pousse à vélo) sont un mode de transport simple disponible dans de nombreuses villes du Vietnam, malgré le fait qu’ils aient été interdits dans certaines villes plus congestionnées. Avec un cyclo, vous devez négocier avec détermination le prix pour votre destination spécifique avant de monter à bord.
Bateau
Le Vietnam possède de nombreuses rivières partiellement navigables pour se déplacer au Vietnam ; cependant, la plus cruciale jusqu’à présent est le Mékong et ses affluents.
Les excursions en bateau au départ de Phnom Penh à destination de Chau Doc, qui valent la peine d’être essayées en raison de leur expérience passionnante, conviennent aux voyageurs visitant à la fois le Vietnam et le Cambodge. Bien sûr, si vous préférez quelque chose de plus luxueux, vous pouvez également voyager en toute élégance sur le fleuve Mékong avec une compagnie de croisière fluviale privée.
Ce type de transport est également possible en mer. La croisière dans les îles de la baie d’Halong est fortement recommandée pour tous les voyageurs se rendant dans le nord du Vietnam, car les touristes auront l’occasion de voir de magnifiques formations d’îles karstiques. Dans le sud, les excursions en bateau vers les îles de Phu Quoc et les îles au large de Nha Trang sont également recommandées. Pour vivre la meilleure expérience lors d’une excursion en bateau au Vietnam, il est préférable de choisir votre bateau avec soin ou de faire appel à une agence de voyage professionnelle. Notez que la plupart des excursions en bateau sont saisonnières et dépendent expressément des conditions météorologiques acceptables.
Taxi
Les taxis sont un moyen de transport raisonnable au Vietnam, et vous pouvez les trouver dans la plupart des sites majeurs. Il est possible que si les hôtels ou d’autres entreprises appellent un taxi pour vous, il soit un peu plus cher que son prix d’origine, car les entreprises reçoivent une commission. Comment se déplacer au Vietnam ? Par conséquent, si vous voyagez avec un budget limité, vous devriez essayer d’en héler un par vous-même.
Les taxis avec des compteurs sont bon marché selon les normes internationales et constituent un moyen presque sûr de se déplacer la nuit. Les tarifs moyens vont de 12 000 à 15 000 VND par kilomètre. Vous devriez opter uniquement pour des compagnies de taxi recommandées ou réputées. Il existe quelques compagnies de taxi nationales avec de bonnes réputations, telles que Mai Linh, Vinasun, etc.
Certaines applications de taxis (avec à la fois des motos et des voitures), y compris Grab, GoViet et Be, sont disponibles dans certaines grandes villes vietnamiennes, notamment Hanoï, Saïgon, Danang.
Règles de la route pour se déplacer au Vietnam
Il n’y a pas de méthode discernable dans le chaos qui sert de système de circulation au Vietnam, il est donc extrêmement important de ne pas s’aventurer sur les routes à moins d’être totalement sûr de soi. En théorie de comment se déplacer au Vietnam, on conduit à droite, bien que dans la pratique, les automobilistes et les cyclistes zigzaguent et esquivent comme bon leur semble, utilisant leur klaxon comme indicateur et frein de remplacement. Sauf indication contraire, la limite de vitesse est de 60 km/h sur les autoroutes et de 40 km/h ou moins en ville.
La priorité revient systématiquement au véhicule le plus imposant sur la route, ce qui signifie que les motos et les vélos sont souvent contraints de quitter la route précipitamment pour laisser passer les énormes camions ou bus rugissants. Notez que les véhicules qui dépassent supposent que vous vous écarterez sur la bande d’arrêt d’urgence pour les laisser passer. Il est sage d’utiliser votre klaxon au maximum et d’éviter de circuler sur la route après la tombée de la nuit, car de nombreux véhicules n’ont soit pas de phares fonctionnels, soit ne prennent tout simplement pas la peine de les allumer.
Dans l’ensemble de circulation Vietnam, la police semble laisser les conducteurs étrangers tranquilles, et la meilleure politique aux contrôles routiers est de passer lentement. Cependant, en cas d’accident dont vous seriez jugé responsable, les sanctions peuvent entraîner des amendes assez importantes.
Lorsque vous garez votre moto, il est conseillé de la laisser dans un parking sécurisé (gui xe) – le tarif en vigueur est à partir de 5000 đ pour une moto et de 2000 đ pour un vélo – ou de payer quelqu’un pour la surveiller. Sinon, vous courez le risque qu’elle soit trafiquée.
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En conclusion, se déplacer au Vietnam peut être un défi passionnant, mais avec les bonnes informations et la préparation adéquate, vous pouvez explorer ce magnifique pays en toute confiance. Que vous choisissiez de parcourir les rues animées des villes, de rouler à moto le long des routes côtières pittoresques ou de naviguer sur les eaux sereines de la baie d’Along, le Vietnam vous réserve des aventures inoubliables à chaque tournant. Alors, préparez-vous à vivre une expérience de voyage unique et à découvrir tout ce que le Vietnam a à offrir en matière de paysages, de culture et de cuisine. Bon voyage !
